Octobre est le Mois de la planification financière, ce qui en fait le moment idéal pour les organisations de considérer la conformité non seulement comme une obligation légale, mais aussi comme une protection financière. Aujourd'hui, nous souhaitons nous concentrer sur le projet de loi 96 , une loi qui engendre des coûts très concrets – amendes, atteinte à la réputation, appels d'offres perdus – mais qui représente également une opportunité d'investir dans des processus qui préservent la rentabilité à long terme et l'efficacité opérationnelle.
La Loi 96 – officiellement Loi concernant le français, langue officielle et commune du Québec – fait du français la langue par défaut dans les affaires et la vie publique. Les plus récentes modifications prévoient une application plus stricte de la loi, de nouvelles règles en matière de documentation et des changements opérationnels que les organisations de 25 employés ou plus doivent désormais mettre en œuvre pour se conformer à la loi dans la plus grande province du Canada.
Pour beaucoup, l'aspect le plus surprenant est son champ d'application très large. Il n'est pas nécessaire d'avoir un siège social enregistré à Montréal ou à Québec pour être concerné. Si vous employez du personnel au Québec, vendez à des consommateurs québécois ou collaborez avec des entreprises québécoises, ces règles s'appliqueront probablement, que votre siège social soit à Toronto, Vancouver, Londres, New York ou ailleurs.


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